Haut les coeurs

La complicité entre un petit-fils et son grand-père liés par un secret vraiment pas banal pour ne pas dire tabou permet d'aborder le deuil et la gestion de la solitude sous un angle tout à fait atypique. Une lecture quelque peu perturbante, déroutante et étonnante aussi, et émouvante parfois, mais dont la complicité entre nos deux personnages, une fois encore, prime avant tout. Le tout délicatement illustré par les crayons d'Elsa Oriol qui suggèrent la délicatesse tout en mettant bien en évidence la tendresse entre nos deux protagonistes.

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C’est un récit à la fois troublant et merveilleux que nous propose Christophe Léon. Traverser un deuil, n’est pas une épreuve aisée. Le grand-père de Cyprien a trouvé ce moyen qui lui permettra d’endurer cette tristesse qui le ronge. Quand son petit-fils le découvre, leur complicité n’en sera que plus renforcée. Les illustrations d’Elsa Oriol, réalisées au crayon de bois et au fusain, sont déroutantes. Elles respectent merveilleusement l’ambiance chaleureuse et mystérieuse de ce mini-roman. De plus, elles sont assez nombreuses dans le livre pour nous accompagner, nous envelopper, c’est une véritable réussite pour les éditions D’eux.

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C’est un très beau roman qui permet de réfléchir sur les diverses façons de vivre un deuil et de surmonter la tristesse de l’absence. Il permettra de vivre des émotions et d’engager une discussion avec les jeunes.

Brigitte Aubonnet https://www.encres-vagabondes.com/magazine8/leon9.htm

Classiques et tout en finesse, les illustrations en noir et blanc au fusain d’Elsa Oriol – qu’on connaît plutôt pour ses talents de peintre – accompagnent avec douceur un texte qui se lit vite. Si, au premier abord, ce dernier a de quoi surprendre, il donne en tout cas matière à méditer.

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Christophe Léon sort des sentiers battus en publiant ce texte court et puissant par son originalité. L’auteur entretient l’art du suspens jusqu’à la fin, dans une mise en scène inattendue, où la notion du deuil entre dans une dimension décalée et non moins émouvante.

Couleur Papier chroniques

On admire la tolérance du petit fils et son respect du secret. Le sujet du deuil est ainsi abordé d’une façon originale, troublante, les limites entre chagrin et folie douce sont perméables et acceptées. La tendresse baigne et illumine ce bref récit ainsi que les illustrations très douces d’Elsa Curiol.

http://www.lietje.fr/2023/02/15/haut-les-coeurs-christophe-leon/

Le talent audacieux de Christophe Léon est de se faire suffisamment ingénieux pour parvenir à faire admettre à des lecteurs éventuellement sceptiques la véracité singulière de son récit. Elsa Oriol, dont on connaît bien la palette aux couleurs adoucies, a choisi un noir et blanc délicat laissant voir, comme dans un carnet de croquis, les traces du crayon. La dernière phrase du livre, pour intriguer sans révéler : « Longtemps Gabriel garde son bras levé. Puis il rentre dans la maison retrouver Annette. »

Les cahiers rouges

Un roman intime pour appréhender le deuil, les petites magies que l'on se crée pour garder l'autre.

NVL

La plume de Christophe Léon offre un roman réussi, touchant, illustré de dessins en noir et blanc qui ajoutent à l'émotion et à la discrétion des sentiments.

C. Bou RVL

Récit troublant dans lequel Christophe Léon aborde avec audace et sensibilité la difficile traversée du deuil et les sentiers parfois singuliers empruntés pour survivre à la douleur.

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C’est un très beau roman qui permet de réfléchir sur les diverses façons de vivre un deuil et de surmonter la tristesse de l’absence. Il permettra de vivre des émotions et d’engager une discussion avec les jeunes.

http://www.encres-vagabondes.com/magazine8/leon9.htm